DAF à temps partagé

La majorité des PME et ETI ne dis­posent pas d’une taille et d’une struc­ture suff­isantes pour béné­fici­er du ser­vice d’un Directeur Admin­is­tratif et Financier con­fir­mé.
Est-ce une rai­son pour qu’elles ne jouis­sent pas des avan­tages liés à une telle expertise ?
La solu­tion n’est-elle pas dans l’ex­ter­nal­i­sa­tion du pilotage de leurs fonc­tions Admin­is­tra­tion et Finance ?

Con­stat
Nous avons con­statés que les dirigeants des PME et des ETI, pour des con­sid­éra­tions de temps, de coûts et de manque de con­nais­sances tech­niques, nég­li­gent leurs fonc­tions Finan­cières. Ils ont ten­dance à les con­sid­ér­er comme des cen­tres de coûts, non créa­teurs de prof­it, juste néces­saires pour pal­li­er aux oblig­a­tions fis­cales et légales dont ils sont assu­jet­tis. Dans la majorité des cas, leurs fonc­tions Admin­is­tra­tives et Finan­cières se résu­ment à des ressources dont le seul out­put est compt­able, fis­cal et social : “lights”.
Par­tant de ce con­stat, et en l’ab­sence d’une réelle exper­tise dans leurs départe­ments Admin­is­trat­ifs et Financiers, plusieurs ques­tions se posent :
  • Est-ce que le min­i­mum est réelle­ment assuré ? N’en­courent-ils pas, mal­gré tout, de réels risques fis­caux, légaux et sociaux ?
  • Est-ce que leur ges­tion finan­cière, même à court terme, est optimisée ?
  • Est-ce que les process déjà en place sont per­for­mants et effi­cients ? Ne peu­vent-ils pas avoir une infor­ma­tion finan­cière plus fiable et plus per­ti­nente, avec moins de ressources ?
  • Dis­posent-ils de sys­tèmes d’in­for­ma­tion, aptes à opti­miser le fonc­tion­nement de tous les départe­ments en toute sym­biose et à même de créer des syn­er­gies inter-fonctions ?
  • N’ont-ils pas besoin d’in­for­ma­tions (finan­cières ou non, endogènes et exogènes) pertinentes ?
  • Com­ment peu­vent-ils pilot­er leurs entre­pris­es sans réels indi­ca­teurs de per­for­mance et d’outils d’aide à la décision ?

Nous nous sommes placés dans la pos­ture d’un dirigeant d’une PME ou d’une ETI qui fait face à ce genre de dilemme. Notre réponse à ces prob­lé­ma­tiques est simplissime.

Solu­tion

Advanced Busi­ness Part­ners” pro­pose aux PME et ETI une ges­tion de leurs fonc­tions Admin­is­tra­tives et Finan­cières en In/out, où l’in­for­ma­tion et le process restent inter­nal­isés et le pilotage exter­nal­isé. C’est notre offre “DAF à temps partagé”.

Avan­tages

  • Une dou­ble valeur ajoutée :
    • Valeur ajoutée “exper­tise finan­cière” du “DAF à temps partagé”.
    • Valeur ajoutée du dirigeant : celui-ci ne se focalis­era plus, désor­mais, que sur son activ­ité cœur de méti­er et le pilotage de son entité. Tous les aspects admin­is­trat­ifs et financiers étant sous la respon­s­abil­ité et le pilotage du “DAF à temps partagé”.
  • Une tré­sorerie opti­misée : un meilleur suivi des AR et des AP et l’in­stau­ra­tion d’une réelle stratégie finan­cière, aboutiront à une meilleure ges­tion du BFR. La tré­sorerie sera ain­si opti­misée et les charges finan­cières réduites au strict minimum.
  • Du report­ing et des out­ils d’aide à la déci­sion con­crets : l’essence même du tra­vail du “DAF à temps partagé” est de met­tre à dis­po­si­tion des dirigeants, les out­ils d’aide à la déci­sion et les report­ings néces­saires, pour une prise de déci­sions stratégiques basée sur une infor­ma­tion finan­cière fiable et pertinente.
  • Des ressources opti­misées : une réor­gan­i­sa­tion et une trans­for­ma­tion des fonc­tions Admin­is­tra­tion et Finance abouti­ra à une ges­tion des ressources plus opti­male. In fine, l’ac­tion du départe­ment Admin­is­tratif et Financier sera plus effi­ciente avec un min­i­mum de ressources.
  • Un con­seil­lé en stratégie con­fir­mé : les dirigeants éprou­vent sou­vent un sen­ti­ment de soli­tude face aux pris­es de déci­sions stratégiques impor­tantes. Ils ne trou­vent sou­vent pas, dans leurs réseaux, d’ex­perts con­fir­més avec qui con­fron­ter et “chal­lenger” leurs idées. Le “DAF à temps partagé” met­tra toute son exper­tise stratégique et opéra­tionnelle à la dis­po­si­tion des dirigeants.
  • Un coût adap­té : les hon­o­raires du “DAF à temps partagé” sont mod­u­la­bles en fonc­tion des besoins et de la taille de l’entreprise.
  • Une cul­ture finan­cière sérieuse : la présence d’un “DAF à temps partagé” dans l’en­tre­prise instau­re, de fac­to, une vision et une cul­ture finan­cière sérieuse et objec­tive. Con­tre­bal­ançant, ain­si, l’enthousiasme, par­fois arbi­traire, des dirigeants.
  • Une sécu­rité et des risques iden­ti­fiés à temps : les poli­tiques de risks man­age­ment, de com­pli­ance et une veille régle­men­taire, sont au cœur du méti­er du “DAF à temps partagé” et sous sa responsabilité.
  • Un DAF de sou­tien ou de tran­si­tion : l’en­tre­prise, du fait de la flex­i­bil­ité de l’of­fre, peut faire appel à un “DAF à temps partagé”, même de manière ponctuelle, ou en péri­ode de transition.
  • Une notoriété : en s’ap­puyant sur les ser­vices d’un “DAF à temps partagé”, l’en­tre­prise gagne en notoriété vis-à-vis de ses parte­naires financiers.
  • Un accom­pa­g­na­teur vers l’ex­pan­sion : qu’il s’agisse de crois­sance naturelle, de stratégie d’in­té­gra­tion ou de finance­ment en cap­i­taux pro­pres, le “DAF à temps partagé” est un allié incon­tourn­able pour les dirigeants pour réus­sir l’ex­pan­sion de leurs entreprises.
  • Une effi­cac­ité opéra­tionnelle : étant externe à l’en­tre­prise, le “DAF à temps partagé” est libre de toute ambi­tion interne et de tout cal­cul de pro­mo­tion qui pour­raient affecter son objectivité.

 

2 réflexions au sujet de « DAF à temps partagé »

  1. Bon­jour,
    Excel­lente ini­tia­tive. Cette offre comblera à mon avis les besoins des PME de tailles moyennes et supérieures en exper­tise financière.
    Ça s’apparenterait à un CSP à haute VA pour les PME.
    Bonne continuation …

    1. Bon­jour Raouf,
      Et oui vous avez vu juste. L’of­fre “DAF à temps partagé” peut être con­sid­érée comme un CSP ou plutôt comme un cen­tre d’ex­cel­lence. A la dif­férence près, que notre “cen­tre d’ex­cel­lence” est exter­nal­isé et qu’avec un CSP ou un CE “tra­di­tion­nels” l’ex­ter­nal­i­sa­tion se fait plutôt dans le sens : société du groupe => société mère.
      Mer­ci pour votre commentaire.

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